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Soyez avertis que cette section aborde des sujets en lien avec des comportements coercitifs, agressifs, voire violents. Si vous ne désirez pas lire sur ces sujets, nous vous encourageons à retourner à la page d'accuil. Pour des informations sur les enseignements d'autres confessions sur la liberté religieuse et les obstacles interprétatifs des écrits d'autres confessions à la libération de comportements coercitifs, veuillez visiter notre page sur la liberté de conscience.

Les communautés chrétiennes acceptent au minimum une Bible chrétienne comme suffisamment fiable, faisant autorité, et applicable pour aujourd'hui.

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Vous pouvez installer une application de la Bible dans votre appareil Android aussi.

Dans l'absence d'une autorité administrative commune à toute les communautés chrétiennes et dans l'impossibilité de créer une page sur notre site pour chaque dénomination chrétienne, nous dirigeons les liens sur cette page vers l'Alliance biblique universelle et à la Bible Parole de vie par défaut. Si les croyances de votre dénomination divergent fondamentalement de ce que cette page vous présente, veuillez nous en informer au :

info@montrealinterconfessionnel.org

Liberté dans l'enfance et le mariage

Et voici le deuxième commandement, qui est aussi important que le premier : “Tu dois aimer ton prochain comme toi-même.”

(Matthieu 22:39)

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​​Quoique la Bible ne formalise pas la liberté religieuse dans la famille, dans le mariage, et dans la société dès un âge spécifique, chaque église chrétienne adopte ses propres règles à cet égard. L'Église catholique romaine fixe normalement l’âge de maturité religieuse à laquelle on peut faire la confirmation à douze ans tandis que les églises protestantes le fixent normalement à entre douze et quinze ans selon l'église.

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Jusqu’à l’âge de maturité, les enfants sont sous la direction de leurs parents. À l’âge de maturité, ils peuvent déclarer leur foi comme une conviction et être enregistrés comme jeunes chrétiens, que leurs parents soient chrétiens ou non. Les enfants sous l'âge de maturité, de parents chrétiens, qui souhaitent assister aux réunions et s’associer avec les amis en tant que chrétiens peuvent le faire dans certaines églises tandis que dans d'autres, ils ne pourront toutefois pas communier. Si des parents non chrétiens permettent à un enfant sous l'âge de maturité d’assister aux réunions chrétiennes, et en fait, d’être chrétien, cela peut également être permis dans certaines églises.

 

Nous devrons tous nous présenter devant le tribunal du Christ. Alors chacun recevra ce qui lui revient pour ce qu’il aura fait en bien ou en mal, pendant sa vie sur la terre.

(2 Corinthiens 5:10)

Le Seigneur ici, c’est l’Esprit Saint. Et quand l’Esprit du Seigneur est présent, la liberté est là.

(2 Corinthiens 3:17)​​​​

Alors ne mentez plus. Chacun doit dire la vérité à son prochain, parce que tous ensemble, nous faisons partie d’un même corps.

(Éphésiens 4:25)

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Si vous avez moins de l'âge de maturité selon votre église, quoique vous pourriez demander de formaliser votre adhésion, l'église ne l'acceptera possiblement pas. Vous pourriez toutefois participer aux activités de l'église au degré que vos parents vous le permettent.

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« Si ton frère te fait du mal, va le voir et fais-lui des reproches quand tu es seul avec lui. S’il t’écoute, tu as gagné ton frère. S’il ne t’écoute pas, retourne le voir avec une ou deux personnes. De cette façon, “on jugera l’affaire avec deux ou trois témoins”. S’il refuse de les écouter, dis-le à l’Église. S’il refuse d’écouter l’Église, traite-le comme un non-Juif ou comme un employé des impôts.

« Je vous le dis, c’est la vérité : tout ce que vous refuserez sur la terre, on le refusera dans le ciel. Tout ce que vous accueillerez sur la terre, on l’accueillera dans le ciel.

« Je vous le dis encore, c’est la vérité : si deux d’entre vous, sur la terre, se mettent d’accord pour prier au sujet d’une affaire, mon Père qui est dans les cieux fera pour eux ce qu’ils demandent. Oui, quand deux ou trois sont réunis en mon nom, je suis là au milieu d’eux. »

(Matthieu 18:15-20)

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​Si vous avez atteint l'âge de maturité selon une église et votre parent ou votre conjoint essaie de vous contraindre à formaliser votre adhésion à cette église (par la confirmation, le baptême, le remplissage d'une carte de déclaration ou d'une autre manière), nous vous encourageons normalement à joindre l'administration de l'église qui pourra leurs partager les écrits bibliques qui interdisent toute contrainte en religion et toute dissimulation de vos croyances et qui exigent la liberté de conscience et la sincérité. Dans le cas d'une contravention flagrante de la loi chrétienne (comme dans le cas de comportements coercitifs continus même après les admonitions de l'administration), l'administration peut comme dernier remède retirer les droits administratifs du contrevenant comme mesure disciplinaire.​

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Vraiment, je vous le dis, un homme ne doit pas renvoyer sa femme, sauf quand le mariage est contraire à la loi. En effet, quand un homme renvoie sa femme et se marie avec une autre, il commet un adultère. »

(Matthieu 19:9)

Aux autres, voici ce que je dis, et cette fois, c’est moi qui le dis, et non le Seigneur : si un chrétien a une femme qui n’est pas chrétienne, et si cette femme veut continuer à vivre avec lui, il ne doit pas la renvoyer. Si une chrétienne a un mari qui n’est pas chrétien, et si celui-ci veut continuer à vivre avec elle, elle ne doit pas renvoyer son mari. En effet, le mari qui n’est pas chrétien est proche de Dieu, parce qu’il est uni à sa femme. La femme qui n’est pas chrétienne est proche de Dieu, parce qu’elle est unie à son mari. Sinon, vos enfants seraient comme des enfants séparés de Dieu, mais en réalité, ils sont proches de Dieu. Pourtant, si celui qui n’est pas chrétien veut partir, il peut le faire. Dans ce cas, celui qui est chrétien, le mari ou la femme, n’est plus lié à l’autre, car Dieu vous appelle à vivre dans la paix. Toi qui es chrétienne, est-ce que tu es sûre de sauver ton mari ? Et toi qui es chrétien, est-ce que tu es sûr de sauver ta femme ?

(1 Corinthiens 7:12-16)

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Pour dissuader davantage la dissimulation de votre foi, la Bible interdit au chrétien de quitter mème une personne qui n'est pas chrétienne indépendamment de son sexe sauf quand le mariage est contraire à la loi.

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« Si quelqu’un dit devant tout le monde : “J’appartiens à Jésus”, alors moi aussi, devant mon Père qui est dans les cieux, je dirai : “Cette personne m’appartient.” Mais si quelqu’un dit devant tout le monde : “Je n’appartiens pas à Jésus”, alors moi aussi, devant mon Père qui est dans les cieux, je dirai : “Cette personne ne m’appartient pas.” »

(Matthieu 10:32-33)

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Quoique les églises respecteront normalement la liberté d'un non-chrétien, y compris sa liberté de quitter la foi, elles protégeront les droits des chrétiens aussi en interdisant la dissimulation (c.-à-d. quitter la foi par ses lèvre en y croyant toujours dans son coeur). Par exemple, une église pourrait toujours refuser de reconnaitre une abjuration de la foi lorsqu'elle sait avec certitude qu'il s'agit d'une dissimulation et pourrait donc appliquer la discipline de l'église lors du retour.

Obstacles à la libération

Certaines interpétations de la Bible que nous vous présentons ci-dessous peuvent souveler des obstacles à la libération de comportements coercitifs ou contribuer à une escalade des comportements jusqu'à des menaces de violence mortelle voire des passes à l'acte.​ Quoique nous reconnaissons que toute personne des deux sexes peut subir ou commettre de la violence sexuelle ou conjugale, nous utiliserons les pronoms masculins pour l'agresseur et féminins pour la victime ici par conformité à la grmmaire française :

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Mais moi, je vous dis : si quelqu’un vous fait du mal, ne vous vengez pas. Au contraire, si quelqu’un te frappe sur la joue droite, tends-lui aussi l’autre joue.

(Mathieu 5:39)

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Une jeune victime qui rencontre un comportement coercitif pour la première fois hors d'un contexte familial pourrait éprouver de la difficulté à défendre ses limites contre un agresseur persistant tout en respectant l'ogligation de lui tendrel'autre joue. Quoique Luc 22:36 semble suggérer la liberté de se défendre, la victime pourrait éprouver de la difficulté à décider si un cas particulier permet l'autodéfense et quelle forme d'autodéfense les écrits permettent, surtout lorsqu'il s'agit de violence psychologique sans menace de violence physique contre la victime.​​

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« Vous avez appris qu’on a dit à nos ancêtres : “Ne commets pas d’adultère.” Mais moi, je vous dis : celui qui regarde la femme d’un autre avec envie, celui-là, dans son cœur, a déjà couché avec cette femme.

(Matthieu 5:27-28)

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La victime pourrait surestimer la protection que cette interdiction lui offre et donc baisser sa garde. Un agresseur obstiné (surtout s'il s'agit d'un agresseur dans le désespoir comme dans le cas d'un demandeur d'asile qui cherche quelqu'un pour le mariage pour éviter son expulsion vers un pays instable) pourrait contraindre la victime à accepter une invitation à souper (ce qui s'agit déjà d'une violation des limites de la victime et peut déjà la traumatisé) puis à passer la nuit chez lui. Si la victime essaie de dormir sur le canapé dans le salon, l'agresseur pourrait la contraindre à dormir dans sa chambre et si la victime essaie de dormir sur le planché à côté du lit, l'agresseur pourrait la contraindre à dormir sur un côté du lit dans ses vêtements de jour sans rapport sexuel.

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Quand on peut faire confiance à quelqu’un pour une toute petite chose, on peut lui faire confiance aussi pour une grande. Et quand on est malhonnête pour une toute petite chose, on est malhonnête aussi pour une grande. 

(Luc 16:10)

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Un agresseur qui réussi à contraindre sa victime à passer la nuit même sans rapport sexuel pourrait contraindre sa victime le matin à promettre à y retourner le soir. Une victime qui fait une promesse même sous contrainte pourrait ressentir une obligation de l'honorer puis de là se retrouver dans un cercle quotidien vicieux de contrainte et de résistance en escalade qui peut commencer pas la simple supplication obstinée puis escalader au cours du temps à une menace de suicide ou à un autre comportement aussi voire plus violent.

Quoique l'administration d'une église chrétienne pourrait offrir des services de consultations spirituelles chrétienne non urgentes, elle ne peut pas nécessairement offrir de la thérapie professionnelle ni guarantir une rencontre à une date proche. De plus, l'administration pourra probablement appliquer peu de sanctions disciplinaires contre un agresseur qui ne s'agit pas d'un membre de cette église si elle peut en appliquer du tout.

Pour toute urgence, vous devriez composer le 911. Pour de l'aide professionnelle, le Centre pour les victimes d'agression sexuelle de Montreal (CVASM) et le Centre de ressources et d’intervention pour hommes abusés sexuellement et leur entourage (Criphase) aident non seulement les victimes de violence sexuelle mais les victimes de comportements coercitifs pré-sexuels voire non sexuels aussi (car nous ne pouvons jamais savoir si un comportement coercitif non sexuel s'agit d'un comportement coercitif pré-sexuel avant qu'il soit trop tard).

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Surtout lorsqu'il s'agit d'une contrainte à une relation sexuelle hors mariage, la victime pourrait la percevoir comme de la violence sexuelle avant tout ; mais s'il s'agit non pas d'une contrainte à un seul rapport sexuel mais bien de contraintes à une relation s'agissant de rapports sexuels à répétition ou de tentatives de contrainte au mariage, on peut la qualifier de violence « conjugale » aussi. Dans ce cas, vous pourriez joindre SOS violence conjugale. Si vous la percevez toutefois toujours comme de la violence sexuelle d'abord, les CVASM et Criphase pourront vous aider aussi.

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Ils sont heureux, ceux qu’on fait souffrir parce qu’ils obéissent à Dieu. Oui, le Royaume des cieux est à eux !

(Matthieu 5:10)

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« Faites pour les autres tout ce que vous voulez qu’ils fassent pour vous. Voilà ce que la loi de Moïse et les livres des prophètes commandent. »

(Matthieu 7:12)

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Même quand la victime aimerait jamais revoir son agresseur pour le restant de sa vie sur la terre, veut de l'aide, et veut la justice, elle pourrait hésiter de chercher de l'aide si elle craint que celà pourrait mener à une punition injuste contre l'agresseur, au moins lorsque l'agresseur ne contraignit pas la victime par une menace de violence physique contre la victime et surtout lorsque la victime peut considérer l'agresseur comme une victime à par entière (comme dans le cas d'un agreseur demandeur d'asile de statut précaire qui essaie par désespoir de contraindre la victime à le marier pour éviter son expulsion vers un pays instable).

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Quand il s'agit d'un agresseur de sexe masculin, une victime consciente des discriminations contre les hommes pourrait hésiter davantage à chercher de l'aide par crainte d'une punition excessive voire injuste contre l'agresseur.

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Si vous cherchez de l'aide en lien avec la violence sexuelle ou conjugale et redoutez une punition excessive voire injuste contre un agresseur (comme dans le cas d'un agresseur de statut précaire), vous pouvez toujours joindre le Centre pour les victimes d'agression sexuelle de Montréal (CVASM) par courriel de manière anonyme initialement.​

Voici un autre cas : Dans une ville, un homme rencontre une jeune fille fiancée à quelqu’un d’autre, et il couche avec elle. Vous les conduirez tous les deux à la porte de la ville et vous les tuerez en leur jetant des pierres. La jeune fille, on la tuera parce qu’elle n’a pas appelé au secours. Pourtant, l’affaire s’est passée à l’intérieur d’une ville. L’homme, on le tuera parce qu’il a fait violence à la femme de quelqu’un d’autre. De cette façon, vous enlèverez le mal du milieu de vous. Mais si un homme rencontre une jeune fille fiancée dans la campagne, s’il la prend de force et couche avec elle, lui seul doit mourir. Vous ne ferez rien à la jeune fille : elle n’a pas commis de faute qui mérite la mort. – C’est la même chose quand un homme attaque son frère et le tue. – Dans cet exemple, l’homme a rencontré la jeune fiancée dans les champs. Même si elle a crié, personne ne pouvait donc venir à son secours.

(Deutéronome 22:23-27)

Même lorsqu'un chrétien croit certainement que l'Ancien testament ne s'applique pas à lui aujourd'hui, l'abscence d'une définition claire de la responsabilité de la victime d'un viol dans le Nouveau testament peut encourager le lecteur à adopter la définition ci-dessus et donc se sentir particulièrement coupable de ne pas avoir crier, surtout lorsque la victime aurait consenti sous contrainte psychologique sans menace directe à sa sécurité physique.

Pendant une dispute, des hommes se battent. Ils heurtent une femme enceinte, et alors la femme accouche trop tôt. S’il ne lui arrive rien de grave, le coupable doit payer la somme que le mari demande après discussions. Mais s’il arrive quelque chose de grave à la femme, le coupable sera puni : s’il a pris une vie, sa vie sera prise, s’il a crevé un œil, son œil sera crevé, s’il a cassé une dent, il aura une dent cassée, s’il a blessé quelqu’un à la main ou au pied, il recevra une blessure à la main ou au pied, pour une brûlure il recevra une brûlure, pour une plaie une plaie, pour un coup un coup.

(Exode 21:22-25)​

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Ce texte pourrait mener même une Chrétienne à s'interroger sur si la vie humaine commence à la conception et si elle peut donc moralement avorter seulement dans le but de mettre fin à sa grossesse. Même lorsqu'il s'agit d'un enfant conçu dans le viol, toute tentative de la contraindre à avorter pourrait la détresser davantage. Un homme dans la même situation pourrait se sentir davantage impuissant face à la volonté de son agresseur d'avorter seulement pour mettre fin à sa grossesse. Si vous avez besoins de l'aide pour une grossesse, vous pouvez joindre Grossesse secours. Grossesse secours respectera vos limites confessionnelles dans toutes vos décisions.

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Ne jugez pas les autres, et Dieu ne vous jugera pas. En effet, Dieu vous jugera comme vous jugez les autres. Et il vous donnera comme vous donnez aux autres !

(Matthieu 7:1-2)

​​Parlez et agissez comme devant être jugés par la Loi de la liberté. Car il y aura une condamnation sans miséricorde sur celui qui n'aura point usé de miséricorde ; mais la miséricorde se met à l'abri de la condamnation.

(Jacques 2:12-13)

Plusieurs églises chrétiennes imposeront une sanction seulement comme dernier remède pour des cas de contravention flagrante de la loi chrétienne.

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Dieu fait ce qu’il promet et il est juste. Alors, si nous avouons nos péchés, il nous les pardonnera et il enlèvera tout le mal qui est en nous.

(1 Jean 1:9)

Une personne pourrait interpréter le verset ci-dessus comme une interdiction de confesser ses péchés à un autre.​​​​​​

Alors reconnaissez vos péchés les uns devant les autres. Priez les uns pour les autres afin d’être guéris. La prière d’un homme juste est très puissante.

(Jacques 5:16)

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Lorsque la violence mène la victime à une dépendance, elle peut certainement participer à des rencontres de douze étapes pour lesquelles existe une application Android (au moins en anglais), surtout lorsqu'elle ne peut accéder à la thérapie professionnelle, si elle croit que cette participation pourrait l'aider.

 

Au bout de quelque temps, la femme de son maître le remarque et lui dit : « Couche avec moi ! » Joseph refuse et il dit à la femme de son maître : « Depuis que je suis ici, mon maître ne s’occupe plus de rien dans sa maison. Il m’a confié tout ce qu’il possède. Dans cette maison, il n’a pas plus de pouvoir que moi. Il ne m’a rien interdit, sauf de te toucher, parce que tu es sa femme. Alors comment est-ce que je peux faire un acte aussi grave et pécher contre Dieu ? » Tous les jours, la femme de Potifar demande à Joseph de venir dans son lit et de s’unir à elle. Mais Joseph ne l’écoute pas.

Un jour, il entre dans la maison pour faire son travail. Les serviteurs ne sont pas là. La femme de Potifar prend Joseph par son vêtement et elle lui dit : « Couche avec moi ! » Joseph lui laisse son vêtement dans les mains et il s’enfuit de la maison.

(Genèse 39:7-12)

 

Il n’y a donc plus de différence entre les Juifs et les non-Juifs, entre les esclaves et les personnes libres, entre les hommes et les femmes. En effet, vous êtes tous un dans le Christ Jésus.​​​​​

(Galates 3:28)

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La Bible reconnaît la capacité d'une femme de commettre et d'un homme de subir de la violence. Si vous redoutez de la discrimination à l'égard d'un homme victime, vous pouvez joindre le Centre de ressources et d’intervention pour hommes abusés sexuellement et leur entourage (Criphase) aussi.​

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Si quelqu’un dit devant tout le monde : “J’appartiens à Jésus”, alors moi aussi, devant mon Père qui est dans les cieux, je dirai : “Cette personne m’appartient.”

(Matthieu 10:32-33)

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L'abscence dans la Bible de l'obligation de la communauté chrétienne de punir un apostat (c.-à-d. une personne qui renonce sincèrement à la foi) peut mener un agresseur qui ignore que ces mêmes écrits interdisent la dissimulation (c.-à-d. la renonciation de la foi par ses lèvres en y croyant toujours dans son cœur) à sous-estimer la difficulté de contraindre sa victime à la dissimulation de sa foi et ​se surprendre lui-même lorsqu'il escalade son comportement coercitif jusqu'à une menace de suicide ou à quel qu'autre comportement aussi voire plus violent au delà de ce à quoi il se croyait capable.

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« On a dit aussi : “Celui qui renvoie sa femme doit lui remettre une lettre de divorce.” Mais moi, je vous dis : un homme ne doit pas renvoyer sa femme, sauf quand le mariage est contraire à la loi. En effet, quand un homme renvoie sa femme, il la pousse à commettre un adultère, parce qu’elle va se remarier. Et quand un homme se marie avec une femme renvoyée, il commet un adultère. »

(Matthieu 5:31-32)

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Ainsi ils ne sont plus deux, mais une seule chair. Que l'homme donc ne sépare pas ce que Dieu a uni !

(Mathieu 19:6)

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L'interdiction biblique de divorcer sauf en cas d'adultère peut dissuader un chrétien qui se retrouve dans un mariage violent (même quand il s'agit d'un mariage auquel il aurait été contraint) à hésiter de se divorcer. Dans un tel cas, il pourrait avoir besoin d'aide professionnelle comme celle de SOS violence conjugale pour s'en sortir.​​

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Obéissez les uns aux autres par respect pour le Christ, les femmes à leur mari comme au Seigneur. En effet, le mari est le chef de sa femme, comme le Christ est le chef de l’Église. Le Christ est le Sauveur de l’Église qui est son corps. Comme l’Église obéit au Christ, les femmes doivent obéir pour tout à leur mari.

(Éphésiens 5:21-25)

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Ces versets d'obéisance peuvent rendre difficile non seulement le divorce mais la séparation aussi si on perçoit la séparation sans l'autorité de l'autre comme un manque de soumission. Là aussi, la victime pourrait avoir besoin d'aide professionnelle comme celle de SOS violence conjugale pour s'en sortir.

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